lundi 27 août 2007

La postière arrive

Il n'y a pas de "factrice" mais il existe le mot postière! Chez nous, elle arrive en bicyclette jour après jour. Depuis peu, nous avons une jeune et belle postière, que j'ai rencontré samedi pour la première fois.

Ma voisine d'en face rentrait après avoir acheté sa baguette quotidienne, et le journal pour son mari, et l'a interpelé pour un colis déposé ailleurs, quelle avait réussi à récupérer entre temps.

Aussitôt, elle s'est mis à son téléphone portable, apprendre comment et pourquoi cela c'était passé et avec sourire et détermination elle a résolut la problème.

Elle a même trouvé du temps à poser pour moi, en gardant toujours le sourire. J'espère qu'elle n'est pas là seulement pour quelques jours en remplacement. Ayant partie plus loin, je n'ai pas pu lui demander.

On ne peut pas dire qu'il "ne se passe rien" chez nous. Au moins, quand je sort mon nez de chez moi.

Hier, non seulement je l'ai sorti, mais je suis allée le matin au marché de livre à Paris, dans le park Georges Brassens. Allée, sans aucune problème, au retour je me suis perdue et j'ai fait, sans vouloir un détour à Rungis! Presque une heure de plus pour en sortir et retrouver mon chemin.

J'ai acheté trois livres. Une livre ancienne d'après la guerre sur Paris, photos et vers: comment les vêtements ont changé depuis! Une livre sur un peintre, Baltuz, non connu jusqu'alors, qui a peint des adolescentes surtout, avant et après la guerre "pour choquer et se faire un nom". Et une volume avec quatre romans de Jules Verne, que je n'avais jamais lu en original. J'espère que j'aurais la patience de la faire cette fois-ci.

Je suis aussi revenue avec pleines des images prix dans le park. Images que je reserve pour demain, images qui m'ont données de travail jusque soir. Pleines des gens en activités divers, assises ou marchant ou courant ou même couchés, mais finalement, c'est le Chef Cuisinier du café bistrot où je suis entrée qui m'a offert le plus.

J'avais tellement crainte qu'il ne me laisse pas prendre du photo, mais il a était gracieux et j'ai pu prendre autant que j'ai voulu. Il croyais que je suis une étrangère: mon accent... Mais, même après avoir appris que je suis en France depuis 43 ans, il m'a laissé continuer. Si je n'ai pas fait aussi bien que j'aurais pu, je le dois seulement au fait, qu'à chaque fois quand je veux quelques chose très fortement, je perds un peu, ou beaucoup de mes moyens.

C'est comme dans ma jeunesse quand je ne réussissait pas parler au garçon qui me plaisait beaucoup, pourtant je n'avais aucun mal à parler à tous les autres filles ou garçons.

Allez, en avant première voilà quelques images de "mon" Chef, avant que je le lui avais demandé, et après.

ensuite

et puis

Lequel devrais-je lui envoyer?

5 commentaires:

  1. je trouve que la première des 3 photos est celle où il est le plus naturel, j'aime bien quand les portraits ne sont pas "posés" ! ce n'est qu'un avis personnel ! bon début de semaine Julie ...

    RépondreSupprimer
  2. Ma préférée est la derire ;-)
    Au fait, ta belle postière t'a t-elle ammené un paquet, début du mois ?

    Allez, j'ai remonté le mois d'aout ;-)

    Un p'tit café s'impose maintenant !

    Sophos ,-)

    RépondreSupprimer
  3. la première je pense.
    Attention à toi, Balthus, que je n'aime pas, est intouchable. Toute la profondeur hummaine voyons

    RépondreSupprimer
  4. j'adore j'adore !! je suis fan de tout tes reportages !!! franchement encore merci pour ces instants du quotidien que tu arrives à rendre poétique !! j'aime beaucoup la photo du chef dans le bistrot et ...il est vrai que la postière est jolie , belle journée à toi !!!

    RépondreSupprimer
  5. moi aussi, c'est la 1è que je préfère!
    je sais où je vais passer mon après-midi! avec toi!!

    RépondreSupprimer