mercredi 26 juillet 2006

"Je ne me permets pas de choisir"


"Je ne me permets pas de choisir" me dit ce matin une dame plus agée et plus lourde que moi, "entre la vie et..." Elle nage une heure chaque matin, dur ou pas dur. "Pour mon coeur, pour mes petits enfants, je dois la faire".

Auparavant, je lui avais dit que ce matin je suis un peu fatiguée et pas vraiment grande envie de continuer à nager.

C'était vers sept heures et quart. Nous avons nagé toutes les deux (au moins continué à bouger, si pas très vite) jusqu'à huit heures.

Je me suis découragée en ayant un peu mal au genoux après 15 minutes, mais heureusement, "je ne me suis pas donnée la choix" d'abandonner ou non et j'ai continué. Une fois le point le plus bas passé, cela va nettement mieux et plus facilement. D'ailleurs tous les sportifs connaissent et aussi les écrivains et les autres : nous devons surpasser le point de découragement puis il devient plus facile. Je l'ai réussi ce matin.

Ma fille (ici sur l'image) était la dernière ce matin de sortir de la piscine, mais au début il y eu huit personnes à faire des tours aller et venir dedans. Vers la fin, c'était éclairci. Mais nous nagions tous assez tranquille et aucun ne dérangait l'autre.

Dommage que je n'ai plus la même joie d'être dans l'eau qu'avant! Mais si je continue, peut-être cela reviendra...

2 commentaires:

  1. Heureuse comme un poisson dans l'eau... si je comprends bien. Nager il est vrai est bon pour la santé et le coeur. L'eau est un bon remède pour les douleurs et puis c'est le plaisir surtout ! Bonne fin de journée.

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